17 septembre 2020
Fierté. Fondations. Expansion.
Ces trois mots sont les premiers qui me viennent en tête pour résumer cette première année exceptionnelle de l’Observatoire.
Fierté que notre équipe – appuyée par les membres de notre Conseil d’administration et de notre Conseil scientifique, nos partenaires et nos membres – ait pu accomplir autant en si peu de temps. Et tant la réception positive des parties prenantes que l’enthousiasme des partenaires furent au rendez-vous, prenant la forme de nouveaux projets ambitieux et d’une visibilité sans précédent pour une organisation naissante.
Ces succès n’auraient été possibles sans avoir établi en même temps les fondations de notre organisation. Plutôt que de planifier avant d’agir ou de se lancer sans avoir bien défini nos priorités, nous avons combiné le meilleur de ces deux approches.
Dès les premiers mois, les grandes lignes du plan stratégique, du programme de recherche, des plans de communication et de développement de l’Observatoire ont été esquissées, peaufinées, puis adoptées, en parallèle de nos projets de recherche et de nos actions de communication.
Puisque le succès engendre le succès, l’Observatoire a d’ailleurs connu une expansion rapide, passant d’une équipe de quatre à huit personnes, sans compter nos collaboratrices et collaborateurs. La prochaine étape en sera une de consolidation, mais cette croissance pourrait se poursuivre.
L’incontournable pandémie nous a évidemment affectés, reportant certains projets et accélérant le recours au télétravail. L’Observatoire s’est rapidement adapté pour répondre aux besoins les plus pressants, en produisant une analyse sur les plus vulnérables à cette crise dans les premiers jours du Grand Confinement, en lançant le Baromètre des inégalités, qui mesure l’impact de la crise, et en préparant une ambitieuse étude longitudinale pour compléter ce portrait.
Et le meilleur est à venir.
Ce billet a d’abord été publié sur le blogue de l’Observatoire québécois des inégalités.